SCIENCE ACTIVE
Nous constituons le premier groupe de scientifiques actifs pour mesurer l’activité volcanique.
QU‘EST-CE QU’UNE URGENCE VOLCANIQUE ?
Un fonds d’urgence est un élément essentiel de la résilience territoriale.
La gestion des risques de catastrophes comprend une stratégie de prévention et d’anticipation, y compris un fonds monétaire permettant de se remettre rapidement des perturbations économiques.
Les produits privés tels que les assurances protègent contre certains impacts, mais couvrent rarement la totalité des dommages causés par les risques naturels.
La meilleure solution est de créer un fonds d’urgence, ou un fonds de réserve, pour agir rapidement sur le terrain et éviter une multiplication des catastrophes.
Le fonds d’urgence de la Fondation Volcano Active fournit un soutien financier et des équipements mis de côté pour faire face aux événements imprévus qui peuvent survenir lors d’une éruption volcanique.
Lorsque les pays sont assurés d’avoir accès à des ressources financières par le biais de fonds d’urgence avant qu’une catastrophe ne survienne, ils peuvent réagir rapidement aux catastrophes et réduire l’impact sur les populations et leurs moyens de subsistance.
C’est ce que les pays insulaires des Caraïbes et du Pacifique ont fait au cours de la dernière décennie par le biais de deux fonds régionaux pour les risques de catastrophes : le mécanisme d’assurance contre les risques de catastrophes des Caraïbes (CCRIF SPC) et l’initiative d’évaluation et de financement des risques de catastrophes du Pacifique (PCRAFI).
Pour réduire l’impact des catastrophes sur les personnes, les moyens de subsistance et les réserves nationales, les gouvernements doivent envisager comment identifier et réduire les facteurs de risque sous-jacents. Les fonds pour les risques de catastrophes, ainsi que d’autres solutions financières et d’assurance pour les risques de catastrophes, contribuent à la réduction des risques en aidant les gouvernements à faire face aux dangers qui ne peuvent être atténués. Ils permettent également de s’assurer que la gestion des risques adopte une approche proactive, en se concentrant sur la planification préalable des réponses financières, plutôt que de s’appuyer sur des initiatives de récupération après une catastrophe.
Le rapport montre que le succès des fonds pour les risques de catastrophe dépend de l’engagement politique, du soutien des donateurs, d’une bonne conception opérationnelle et de la viabilité financière.
LE TRAVAIL QUE NOUS POUVONS CONSTRUIRE ENSEMBLE FERA LA DIFFÉRENCE.